Le Château Masburel fête la fin de l'Eté.
Depuis 1740 le Château Masburel à Fougueyrolles, (Dordogne) à quelques km au nord de Saint Foy la Grande est un des plus beaux terroirs du vignoble bergeracois. Fondé par Jean de Sambellie, Consul de Sainte Foy auprès le Roi de France Louis XV, ce personnage haut en couleurs y planta aussitôt des vignes, qui perdurent aujourd'hui, donnant les superbes vins du Haut Montravel.
L'actuel propriétaire du Château Masburel, l'anglais Julian Robbins continue à exploiter cet héritage Périgourdin, comme seuls savent faire les sujets de sa majesté la Reine d'Angleterre. Régulièrement des événements ont lieu dans le cadre magnifique de la splendide chartreuse où il fait si bon passer un moment autour d'un bon vin avec ses amis ou les gens de passage, voire les artistes qui en ont fait un lieu de prédilection et d'inspiration.
Le samedi 27 Août à partir de 19 heures le Château Masburel fêtera dignement « la Fin de l'Eté », précédant avec bonheur une récolte qui s'annonce généreuse, et de qualité exceptionnelle. Rien n'est laissé au hasard. Et cette soirée inaugure aussi l'exposition du photographe et journaliste Daniël Besombes, qui durera jusqu'au 30 septembre 2011. Grand baroudeur et aventurier il a su photographier les personnages extraordinaires qu'il a croisé pendant ses voyages autour du monde, racontant à travers de ses objectifs les rêves des gens d'ailleurs, dans leur cadre avec leurs rêves avec sensibilité et pudeur. Ici il sera question du Tibet et du Népal, vus sous l'angle du reporter, mettant l'accent sur des personnages dont les visages en disent plus long que les livres.
Soirée festive par excellence le Château Masburel convie alors ses hôtes à passer un moment inoubliable et a fait appel aux excellents musiciens du groupe Brother Jack, produisant une musique Blues et Soul que seuls le vrais musiciens savent transmettre, pour le plus grand bonheur de tous.
Pendant ce temps là Ariane Lumen, artiste peintre et modèle peindra 2 tableaux en publique et sur la musique du groupe, véritable performance enchanteresse pour les yeux, et qui de plus à titre tout à fait exceptionnel chantera « La Javanaise » de Serge Gainsbourg.
L'accueil de cette soirée est assuré par Arnaud Isnard, manager du Château Masburel. Pour ses hôtes il a prévu du feu et de la braise dans les BBQ, histoire d'offrir aux visiteurs de consommer leur repas tiré du sac avec ses propres grillades.
Pour participer ou obtenir plus de renseignements au sujet de cette soirée, qui sera un vrai moment de convivialité et de sérénité, les n° de tél 05 53 24 77 73 et/ou 05 53 81 52 31 vous fourniront toutes les informations.
Saint Marcel du Périgord le 10 août 2012
Les rares routes qui mènent à Saint Marcel du Périgord sont étroites et tournantes. Les habitants sont peut être les seuls à les utiliser, le facteur aussi . Le village est niché en plein dans le pays de la Louyre, petit ruisseau qui chemine paisiblement vers Bergerac entre champs de tournesols et bois de châtaigniers, à quelques km de là. Ce soir on y vient pour y faire la fête, dans le cadre pastoral, verdoyant et bucolique, où les vieilles pierres témoignent d'un passé chargé d'histoire mais sans histoires.
Véritable marché de producteurs, qui a vu le jour, grâce à eux les producteurs paysans qui n'ont que faire des super marchés, avec leurs melons, viandes, canards et encore bien plus. Les premiers badauds arrivent, inspectent la buvette tenue par le viticulteur de service, Pascal initiateur du marché active la braise, un autre manipule la sono qui devra tenir ses promesses. Un homme vend des plantes ornées de faux papillons mais « c'est de la fabrication française », dit-il. Monsieur le Maire passe par là, l'œil vigilant et bienveillant sur les gens, du village ou non qui commencent à prendre place sous le magnifique platane qui trône depuis on ne sait plus depuis combien de temps en plein milieu de l'enceinte de l'événement. On est venu pour manger, voir ses amis et ses voisins, les vacanciers aussi, s'étonnant de l'énergie que l'on y dépense! Les tables son dressées.
On y parle aussi bien anglais, hollandais que français. La célèbre vedette anglaise Kim Wild a acheté une demeure ici, mais sera-t-elle de la fête ? Si Breughel était encore de ce monde et en vacances ici il n'hésiterait pas un seul instant à immortaliser la fête au village avec un tableau, mais aujourd'hui ce sont les appareils photos numériques et leurs flashes qui assurent les souvenirs de la soirée unique.
Attention ! La nuit ne fait que commencer. Les jeunes filles ont mis leurs plus belles robes avec une petite idée dans la tête......les garçons viendront peut être les draguer, garçons presque tous accoudés au comptoir, ou le viticulteur et sa charmante serveuse ne cessent d'abreuver les visiteurs dans la moite chaleur de cette merveilleuse soirée d'été. Les vieux et les jamais vieilles observent de loin tout ce manège , ils parlent de tout et de rien, qu'il fait trop chaud, qu'il fait trop sec, et qu'une repousse de cèpes il y aura, et que de leur temps........
Une clique de Bandas donne sa pleine puissance maintenant, venue d'un village voisin et contribue largement à l'ambiance festive de la soirée. D'ailleurs ne joue-t-elle pas l'hymne nationale anglaise, et les sujets de sa Majesté la Reine chantent tous en cœur
La brume envahit la tête des fêtards , le vin coule à flot, la musique sert de dynamite et nombreux sont les danseurs à se défouler sur les airs de toujours. Demain c'est samedi, et le lundi est encore très loin. Dans la Louyre il reste un peu d'eau, il pleuvra bien un jour.
Les traditions du Périgord perdurent ainsi, et l'on se jure que cela recommencera. A regarder de près on voit bien qu'il y a des amours qui commencent à naître, la France profonde assure ses arrières et donne le ton, jalousée par le monde entier. Saint Marcel du Périgord, la vraie culture en Milieu Rural.
La Fermière, la Sorcière et les Chevaux
conte érotique écrit par Alexia des Sources., membre du Collectif Artistique de Saint Georges de Montclar, association déclarée. Alexia F. est parrainée par Ariane Lumen, voir plus : www.arianelumenart.odexpo.com membre fondatrice de l'association, artiste peintre, modèle et illustratrice. La loi du 11 mars 1957 interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédée que ce soit, sans le consentement de l'auteur ou des ses ayants droits cause est illicite et constitue une contrefaçon sactionnée par les article 425 et suivants du Code Pénal.
Le soir tombait tranquillement sur la ferme mais les rayons du soleil étaient encore chauds. La fermière était épuisée par sa longue journée enfin terminée. Elle sentait fort la transpiration, mais se sentait bien, c'était comme un signe qu'elle avait bien travaillé, et bien mérité de se reposer et se détendre.
Elle enleva sa robe tâchée et rapiécée et se retrouva nue dans la nature. Son corps vieillissant n'avait plus connu la douceur de l'amour depuis bien longtemps. Mais avec le temps ça lui manquait demoins en moins. Sauf peut-être en des instants de solitude cruelle, tard dans la nuit.
Elle vivait seule depuis longtemps et ses seuls amis étaient ses animaux, en particulier ses chevaux qu'elle adorait plus que tout. Sa récompense habituelle de fin de journée était une longue ballade solitaire à cheval, dans la campagne tranquille, au crépuscule.
La fermière arriva à l'écurie, et pris le temps de brosser, et de s'occuper de chacun de ses chevaux. Puis elle en choisit un et le fit sortir doucement de l'écurie, le visage éclairé par un grand sourire. Elle se sentait complice avec eux, dans une relation impossible à décrire, une relation sans aucun mot, mais pourtant tellement forte, tellement réciproque. Elle se disait souvent que peu d'humains pourraient comprendre ce qu'elle ressentait.
Entièrement nue, elle monta avec grâce sur l'immense cheval, sans selle. Le contact rêche des poils de l'animal sur la peau lui plaisait. Elle et l'animal, et rien d'autre, dans la nature, une communion en toute humilité.
Serrant fort l'animal entre ses cuisses, elle partit vite au galop à travers les chemins qu'elle connaissait par cœur. Bien vite, la fraicheur de l'air ne la faisait plus frissonner, le cheval au galop dégageait une chaleur fantastique et douce. Dans cette position, les jambes grandes ouvertes autour du dos de l'animal, le bassin cambré, son sexe cognait fort contre la peau de l'animal, à chaque foulée, ce qui rendait leur contact encore plus intime. Elle accompagnait tous
ses mouvements par les siens, balançant ses jambes et son buste en rythme. Sous l'effort et le plaisir, ses joues rougissaient sous la pleine lune.
Elle ne pensait plus à rien, pendant un long moment, ils étaient juste tous les deux, serrés très fort l'un contre l'autre, dans une chaleur moite et intense, leur respiration intense synchronisée, filant comme le vent, invisibles dans la nuit.
A l'abord d'une clairière, à bout de souffle, ils s'arrêtèrent, et
elle descendit lentement en glissant sur son flanc. Ses cuisses et son bas ventre était un peu rougis par l'irritation du frottement, et elle s'assit dans l'herbe aux cotés du cheval qui soufflait puissamment, faisait sortir d'imposantes volutes de fumée de ses narines. Elle remarqua alors l'érection de son cheval, ce qui n'arrivait pas souvent. Elle avait toujours été fascinée par la taille surhumaine de
leur membre - c'était bien plus gros qu'un bras d'homme - et avait du mal à en détacher son regard. Elle se sentait totalement humble face à cette bête magnifique, toute en muscles et en virilité.
En caressant sa peau irritée, elle remarqua, avec un peu de gène, que son sexe était très humide. Elle sentait son clitoris gonflé, elle sentait qu'en elle un désir brûlant était là, trop souvent insatisfait, même nié. Mais par moments il revenait, implacable, avec toujours plus de force.
Dans ce cadre détendu et calme, elle n'eut pas la force de lutter, et s'abandonna vite à la masturbation, allongée dans l'herbe, aux pieds du cheval. D'une main elle se pinçait fort un téton, tandis que de l'autre elle se caressait frénétiquement le clitoris. Elle se mordait les lèvres en gémissant, en contemplant l'énorme sexe dressé de l'animal.
Très vite elle fut submergée par un orgasme profond qui l'agita de spasmes pendant une longue minute. Puis elle essuya ses larmes en riant et se releva.
C'est alors qu'une lueur surnaturelle illumina la clairière. La
fermière et son cheval sursautèrent, mais restèrent à la même place, comme s'ils étaient fascinés tous les deux par ce spectacle étrange. La lueur d'une couleur indéfinissable s'estompa, et laissa la place à une étrange femme, d'apparence magnifique mais troublante, vêtue d'une
robe aux motifs incompréhensibles. Son age paraissait impossible à déterminer, sa peau, blanche et lisse, et ses formes gracieuses et fermes lui donnait l'aspect d'une jeune fille, mais dans son regard transparaissait une sagesse et une expérience incroyable. Son regard pénétrant fixait la fermière, et elle tendit vers elle un objet allongé curieux, qui ressemblait à une sorte de grosse racine. Un silence de mort régnait dans la clairière, tandis que la voix de la
sorcière s'éleva.
<< Pécheresse ! comment oses-tu laisser de la sorte ta chair être plus forte que ton esprit ? Je t'observe depuis longtemps, pauvre créature, et j'ai décidé que tu ne méritais pas d'être plus qu'un animal. Reçois mon châtiment, tu as fantasmé devenir une simple jument, et bien je vais exaucer ce souhait ! >>
La fermière restait pétrifiée, sans arriver à comprendre ce qui se passait. Ça ne pouvait être qu'une plaisanterie, mais c'était tellement ... surnaturel. Etait-elle en train de rêver ? Les mots de la sorcière résonnaient en elle, ça paraissait tellement absurde. La sorcière la fixait toujours, dans un rictus de profonde concentration, le bras tendu vers elle. Devenir une jument ? Soudain, la fermière fut prise d'une douleur atroce dans le dos. Sa colonne vertébrale semblait grossir en elle, et elle tomba en avant, tant la souffrance était insupportable. Son dos craquait et elle commença à hurler, prise de terreur. Elle ne pouvait plus se relever,
comme si son dos était cassé, tordu, par une force inimaginable. Ses bras et ses mains commencèrent ensuite à se tordre, dans d'effroyables bruits de craquements douloureux. Elle sentit ses doigts se resserrer entre eux, devenir une sorte de masse dure, comme si ses chairs
étaient comprimés dans un étau. Elle hurlait, croyant vivre ses derniers instants. Sa mâchoire devint douloureuse également, semblant gonfler, tirant sa peau dans toutes les directions, ses dents grossirent, pendant qu'elle continuait à crier... mais ses cris devenaient de moins en moins humains. Sa peau se recouvrait de poils durs. Toute sa morphologie était en mutation rapide, tous ses muscles,
ses organes, ses sens, devenaient différents.
Même son esprit devenait celui d'un cheval. Elle ne perdait pas sa mémoire, mais elle perdait la précision et la nuance des mots. Elle n'était plus que les émotions qu'elle ressentait dans l'instant. La peur, la douleur. Ses jambes, ses 4 jambes tremblaient. Ses sabots lui faisaient mal. Mais elle tenait debout. La métamorphose se terminait enfin, la douleur cessait.
Elle contempla pour la première fois la clairière avec ses nouveaux yeux de juments. Tout lui semblait différent. Une foule d'odeurs, de saveurs, de bruits lui apparaissaient nettement autour d'elle.
Parmi toutes ces odeurs, une se fit plus présente, et devint
obsédante. Elle sentit le mâle près de lui. Elle sentit son désir. Elle sentit son corps réagir instinctivement à cet appel, elle sentit son corps se préparer. En frétillant, elle présenta sa croupe en direction de l'étalon. Elle sentait des fluides ruisseler en elle. Elle le sentit s'approcher, et baissa la tête pour faciliter son approche. Il monta rapidement sur elle, et d'un coup la pénétra profondément de son membre dur. La jument serra les dents en soufflant et lutta pour garder l'équilibre, puis chercha à s'ouvrir encore plus pour accueillir les coups de l'étalon. Ses coups étaient brutaux et violents, mais la douleur était supportable, c'était comme un prix à
payer, elle ne ressentait pas vraiment de plaisir, mais elle se
sentait à sa place. Au bout de quelques coups, l'étalon éjacula puissamment en elle, et se retira aussitôt, son érection déjà passée. Une quantité énorme de semence coula du vagin de la jument, formant une flaque entre ses sabots.
Le cheval était soulagé et il ne pensait plus à la jument, il était retourné dans la clairière. La jument elle, était encore dans les sensations intenses de l'accouplement. L'entrejambe un peu douloureux, son vagin était encore animé de violentes contractions, destinées à amener la semence jusqu'à l'utérus. Elle aurait sans doute un poulain
de cette courte union mais ne le savait pas. Elle regardait l'étalon dans une sorte d'élan amoureux.
Quand il se mit à galoper, en direction de la ferme, son instinct lui commanda immédiatement de le suivre. La jument se mit à galoper en suivant son étalon, avec une seule idée, ne pas rester seule. Sa vie est en troupeau, parmi les siens.
contact: collectif-artistique.sgdm@orange.fr
Un autre conte érotique sur le lien suivant: Conte Erotique Perigourdin II
voir aussi : www.arianelumenart.odexpo.com et http://ariane.lumen.over-blog.com
Dominique Rousseau et Ariane Lumen
Ariane Lumen est fondatrice du Collectif Artistique de Saint Georges de Montclar, association déclarée
Dominique Rousseau, Maire de la Ville de Bergerac et Conseiller Général a permis à Ariane Lumen, artiste peintre, illustratrice et modèle à Saint Georges de Montclar en Périgord ( Dordogne) d'accrocher ses tableaux dans sa permanence de campange située 38 Grand' Rue à 24100 Bergerac, téléphone 0553739027.
Ici Je Suis Chez Moi
Le Collectif Artistique de Saint Georges de Montclar et Ariane Lumen partagent les valeurs, et les idées de Dominique Rousseau et sa suppléante Madame Cécile Labarthe, Maire Adjointe de la Ville de Bergerac.
Ici Je Suis Chez Moi
Contacter Ariane Lumen: alume@orange.fr
voir plus sur Ariane Lumen sur le site: www.arianelumenart.odexpo.com
L'illustration musicale sur cette page est de Cloé du Trèfle, musicienne et chanteuse, amie d'Ariane Lumen, et membre du Collectif Artistique de Saint Georges de Montclar. Voir plus: Cloé du Trèfle Musicienne
Contacter l'association: collectif-artistique.sgdm@orange.fr