Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 08:08
 
Sylvie Jeffery
 
Chantecaille Créations
 
Sculptures textiles et bois flottés
 
 
 
P9180011
 
 
 P9180010
P9180009
 
 
P9180024
 
 
 
P9180026
 
 
P9180008
 
 
 
 Contacter directement Sylvie Jeffery e-mail sylviejeffery@yahoo.fr
tél: (+33) 05 53 27 11 74 et 06 74 48 47 54
 
 
Sylvie Jeffery est membre de l'association Collectif Artistique de Saint Georges de Montclar, association déclarée.
Sylvie Jeffery et Ariane Lumen sont amies.
 
 
Voir plus sur Ariane Lumen: http://z.fr/GjxK0
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
29 août 2011 1 29 /08 /août /2011 15:37
 
 
   
 
aff 22 sept 3
 
 
 
aff vergt fest
P7110099 5
Fougueyrolles 33220 Sainte-Foy-La-Grande
 
masb proj 5 def
 
   
 
 
   
      
          
 
 
 
 P7110027-1
courtyard.jpg
 
 
 
 
 
Château Masburel et Ariane Lumen vous recommandent cette exposition
 
 
Daniel-Besombes 7637 al javanaise 
 
 
Daniel-Besombes 7491
 
 Le groupe Brother Jack en concert dans la cour du Château Masburel, Ariane Lumen en Public Painting
 
 
avril-flot-masburel-divers.jpg
 
 
 
 Voir plus du Château Masburel: www.chateau-masburel.com
 
P9020025 aff blanc
 
Voir plus sur Ariane Lumen: www.arianelumenart.odexpo.com
 
 
Ariane Lumen, artiste peintre à Saint Georges de Montclar est fondatrice du Collectif Artistique de Saint Georges de Moontclar, association déclarée.
 
Château Masburel and Daniël Besombes are friends of the Collectif Artistique de Saint Georges de Montclar
 
 
 
 
 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 09:21
Château Masburel
 
Samedi 23 juin 2012
 
 
Cliquez sur le lien suivant pour en savoir beaucoup plus
 
  masb proj 5 def 
P9020025 aff blanc
masbrel def fin ete
 
 
 
Soirée Pique-Nique le 27 Août 2011 à partir de 19 : 00
 
   
 
Concert avec Brother Jack
 
Performance Picturale avec Ariane Lumen
 
liens:
 
 
 
 
 
 
   

Le Château Masburel fête la fin de l'Eté.

 

Depuis 1740 le Château Masburel à Fougueyrolles, (Dordogne) à quelques km au nord de Saint Foy la Grande est un des plus beaux terroirs du vignoble bergeracois. Fondé par Jean de Sambellie, Consul de Sainte Foy auprès le Roi de France Louis XV, ce personnage haut en couleurs y planta aussitôt des vignes, qui perdurent aujourd'hui, donnant les superbes vins du Haut Montravel.

 

L'actuel propriétaire du Château Masburel, l'anglais Julian Robbins continue à exploiter cet héritage Périgourdin, comme seuls savent faire les sujets de sa majesté la Reine d'Angleterre. Régulièrement des événements ont lieu dans le cadre magnifique de la splendide chartreuse où il fait si bon passer un moment autour d'un bon vin avec ses amis ou les gens de passage, voire les artistes qui en ont fait un lieu de prédilection et d'inspiration.

 

Le samedi 27 Août à partir de 19 heures le Château Masburel fêtera dignement « la Fin de l'Eté », précédant avec bonheur une récolte qui s'annonce généreuse, et de qualité exceptionnelle. Rien n'est laissé au hasard. Et cette soirée inaugure aussi l'exposition du photographe et journaliste Daniël Besombes, qui durera jusqu'au 30 septembre 2011. Grand baroudeur et aventurier il a su photographier les personnages extraordinaires qu'il a croisé pendant ses voyages autour du monde, racontant à travers de ses objectifs les rêves des gens d'ailleurs, dans leur cadre avec leurs rêves avec sensibilité et pudeur. Ici il sera question du Tibet et du Népal, vus sous l'angle du reporter, mettant l'accent sur des personnages dont les visages en disent plus long que les livres.

 

Soirée festive par excellence le Château Masburel convie alors ses hôtes à passer un moment inoubliable et a fait appel aux excellents musiciens du groupe Brother Jack, produisant une musique Blues et Soul que seuls le vrais musiciens savent transmettre, pour le plus grand bonheur de tous.

 

Pendant ce temps là Ariane Lumen, artiste peintre et modèle peindra 2 tableaux en publique et sur la musique du groupe, véritable performance enchanteresse pour les yeux, et qui de plus à titre tout à fait exceptionnel chantera « La Javanaise » de Serge Gainsbourg.

 

L'accueil de cette soirée est assuré par Arnaud Isnard, manager du Château Masburel. Pour ses hôtes il a prévu du feu et de la braise dans les BBQ, histoire d'offrir aux visiteurs de consommer leur repas tiré du sac avec ses propres grillades.

 

Pour participer ou obtenir plus de renseignements au sujet de cette soirée, qui sera un vrai moment de convivialité et de sérénité, les n° de tél 05 53 24 77 73 et/ou 05 53 81 52 31 vous fourniront toutes les informations.

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
28 juillet 2011 4 28 /07 /juillet /2011 08:51
 
 
Dimanche 18 septembre 2011 Journée du Patrimoine
 
   
   
Château de Tiregand
Route de Sainte Alvère
24100 Creysse Mergerac
pour tous les rensignements rendez-vous impérativement sur le lien suivant:
 
 
   
 
 
 
P7110071
 
 Je recommande
 
cette merveilleuse
 
Journée du Patrimoine au sein
 
du Château de Tiregand
 
Ariane Lumen
 
 
 
 Just as the wind.......I'm changeable
 
 
    .
 
   
 
 en collaboration avec le Collectif Artistique de Saint Georges de Montclar, association déclarée à 24140 Saint Georges de Montclar, tél 05 53 81 52 31 et Email collectif-artistique.sgdm@orange.fr
 
   
 
Les artistes (max 15) doivent s'incrire au n° 0553815231
 
   
Le Collectif Artistique de Saint Georges de Montclar,
   
Ariane Lumen, artiste peintre et Modèle, illustratrice, A Powerful World of Colors, www.arianelumenart.odexpo.com et Email alume@orange.fr  are friends, collaborating together.
 
Other Events - Autres Evénements
 
   
 
 
 
affiche besombes masburel
 
  Voir plus sur le lien: http://0z.fr/IH0CY
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
17 juillet 2011 7 17 /07 /juillet /2011 13:51
Saint Marcel du Périgord
 
Vendredi  13 juillet, 10 août et 24 août 2012
 
       
 
P7110027-1
 
 
 
 
Ariane Lumen
 
Artiste Peintre à St. Georges de Montclar
 
Je recommande cette soirée
 
"La Culture en Milieu Rural"
 
   
 
 
            
    st-m-du-p-19-08 2012
   

Saint Marcel du Périgord le 10 août  2012

 

 

Les rares routes qui mènent à Saint Marcel du Périgord sont étroites et tournantes. Les habitants sont peut être les seuls à les utiliser, le facteur aussi . Le village est niché en plein dans le pays de la Louyre, petit ruisseau qui chemine paisiblement vers Bergerac entre champs de tournesols et bois de châtaigniers, à quelques km de là. Ce soir on y vient pour y faire la fête, dans le cadre pastoral, verdoyant et bucolique, où les vieilles pierres témoignent d'un passé chargé d'histoire mais sans histoires.

 

Véritable marché de producteurs, qui a vu le jour, grâce à eux les producteurs paysans qui n'ont que faire des super marchés, avec leurs melons, viandes, canards et encore bien plus. Les premiers badauds arrivent, inspectent la buvette tenue par le viticulteur de service, Pascal initiateur du marché active la braise, un autre manipule la sono qui devra tenir ses promesses. Un homme vend des plantes ornées de faux papillons mais « c'est de la fabrication française », dit-il. Monsieur le Maire passe par là, l'œil vigilant et bienveillant sur les gens, du village ou non qui commencent à prendre place sous le magnifique platane qui trône depuis on ne sait plus depuis combien de temps en plein milieu de l'enceinte de l'événement. On est venu pour manger, voir ses amis et ses voisins, les vacanciers aussi, s'étonnant de l'énergie que l'on y dépense! Les tables son dressées.

 

On y parle aussi bien anglais, hollandais que français. La célèbre vedette anglaise Kim Wild a acheté une demeure ici, mais sera-t-elle de la fête ? Si Breughel était encore de ce monde et en vacances ici il n'hésiterait pas un seul instant à immortaliser la fête au village avec un tableau, mais aujourd'hui ce sont les appareils photos numériques et leurs flashes qui assurent les souvenirs de la soirée unique.

 

Attention ! La nuit ne fait que commencer. Les jeunes filles ont mis leurs plus belles robes avec une petite idée dans la tête......les garçons viendront peut être les draguer, garçons presque tous accoudés au comptoir, ou le viticulteur et sa charmante serveuse ne cessent d'abreuver les visiteurs dans la moite chaleur de cette merveilleuse soirée d'été. Les vieux et les jamais vieilles observent de loin tout ce manège , ils parlent de tout et de rien, qu'il fait trop chaud, qu'il fait trop sec, et qu'une repousse de cèpes il y aura, et que de leur temps........

 

Une clique de Bandas donne sa pleine puissance maintenant, venue d'un village voisin et contribue largement à l'ambiance festive de la soirée. D'ailleurs ne joue-t-elle pas l'hymne nationale anglaise, et les sujets de sa Majesté la Reine chantent tous en cœur

 

La brume envahit la tête des fêtards , le vin coule à flot, la musique sert de dynamite et nombreux sont les danseurs à se défouler sur les airs de toujours. Demain c'est samedi, et le lundi est encore très loin. Dans la Louyre il reste un peu d'eau, il pleuvra bien un jour.

 

Les traditions du Périgord perdurent ainsi, et l'on se jure que cela recommencera. A regarder de près on voit bien qu'il y a des amours qui commencent à naître, la France profonde assure ses arrières et donne le ton, jalousée par le monde entier. Saint Marcel du Périgord, la vraie culture en Milieu Rural.

 

 

 Une video d'ambiance sur le lien suivant:
 
et
   
collage 5   Péri-Sat
polymorphe 5 text 311
P9020025 aff blanc
     
 
aff monpazier
     
aff urval
      Urval
 
 
     
 
     
 
 
 
Partager cet article
Repost0
7 juin 2011 2 07 /06 /juin /2011 13:12
 
    Saint Georges de Montclar en Périgord
Brocante Vide Grenier du Patrimoine
 
Dimanche 18 septembre 2011
 
aff patrim P9280003
 conception affiche Ariane Lumen - Village du Périgord - papier d'art du Moulin de Larroque à Couze, 40 x 60
voir plus sur Ariane Lumen sur www.arianelumenart.odexpo.com
 
Plus de 100 exposants qui seront placés sur la place du bourg, la halle et au pied du château, et les voies d'accès au village, une des plus belles manifestations de la région. La dernière du 20 Février attirait 2500 visiteurs.
 
La manifestation est ouverte aux professionnels et particuliers.
 
Il faut impérativement s'inscrire et retirer son dossier de participation  au n° de tél
 
0553815231
 
ou émail
 
 
 
organisation: Collectif Artistique de Saint Georges de Montclar
Le Bourg
24140 Saint Georges de Montclat
 
Saint Georges de Montclar en Périgord (Dordogne) est situé au bord de la route D21 qui va de Bergerac (15 km) à Vergt (15 km).
 
Une autre manifestation (uniquement pour professionnels) se déroulera le
 
16 juillet 2011
 
voir plus sur le lien: Foire Antiquités Brocante Design
 
aff poymorphe 4
 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 09:05
 
Saint Georges de Monclar en Périgord
 
accueille
les 17, 18 et 19 juin 2011
 
les autres villages de France dont le nom commence par Saint Georges
 
Plus de 6000 personnes sont attendues à Saint Georges de Monclar en Dordogne, village médiéval de 260 âmes.
 
Trois artistes du Collectif Artistique de Saint Georges de Monclar, association déclarée,  vous reçoivent dans une ambiance festive et conviviale:
 
 
Picnik collage 1
 
 
Créassembleur James Lamotte "Revu et Corrigé 24 "
 
Revu et Corrigé 24  cliquez ici pour en savoir plus
 
création et design, d'objets et mobilier de jardin:
 
SPM A0010
 
 
WT Création - William Truffert
 
WT Creation  cliquez ici pour en savoir plus
 
Façonneur de métal, création et design d'objets en métal, luminaires...........
 
wil 4
 
 Ariane Lumen, artiste peintre, modèle et illustratrice
 
a Powerful World of Colors
 
 
Gallus P6250045.jpg
 
 
 
Contact: collectif-artistique.sgdm@orange.fr  et tél 05 53 81 52 31
 
 
Où se loger et se restaurer à Saint Georges de Montclar en Périgord?
 
cliquez sur le lien suivant: Jean Claude Lambert  et vous êtes chez le plus célèbre des cuisiniers d'ici!
 
bar hotel restaurant dordogne-6
 
 L'illustration musiciale de cette page est assurée par Cloé du Trèfle de Bruxelles, membre d'honneur du Collectif Artistique de Saint Georges de Monclar, association déclarée.
 
  voir plus d'information sur cet événement: Foire Antiquités Brocante Design
aff poymorphe 4
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Partager cet article
Repost0
23 avril 2011 6 23 /04 /avril /2011 17:04
 
 
 
 
La Ferme des Abeilles
(Alexia Desmonts - avril 2011)
La loi du 11 mars 1957 interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédé que ce soit, sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants, est illicite et constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code Pénal.
 
L’orage grondait au loin dans la vallée de la Dordogne, là, vers l’ouest où le ciel était devenu plus foncé, tirant sur le gris presque. Un grondement sourd, un peu comme un train de marchandises, qui, quand on l’entend dans cette vallée annonce que la pluie n’est pas très loin. Pourtant ici  au - dessus de ce bois sauvage le ciel était encore d’un bleu azur, quoique un peu voilé déjà. Le temps était chaud, et de plus en plus lourd. Elle ne savait pas pourquoi elle était arrivée ici, dans cette campagne bucolique. Sans doute s’était-elle trompée de route….en tout cas Sarlat n’était pas ici.  Comble de malheur sa voiture montrait des signes de faiblesse, cette longue côte avait surchauffé le moteur , qui s’était brusquement arrêtée. Elle actionnait nerveusement le contact, mais rien n’y faisait….la voiture ne démarrait plus.  Et du dessous le capot s’échappait une fumée blanche qui ne présageait rien de bon.
 
Elle contempla le paysage,  des bois, et encore des bois, et aucun bruit ne venait déranger la quiétude de cette journée chaude du mois de juin.  Pas de signal non plus pour le téléphone portable, elle se demandait comment chercher du secours. Un peu plus loin elle vit un petit chemin, avec un petit panneau presque illisible. Un poteau électrique, ou était-ce un poteau de téléphone. « Cela va forcément quelque part » se disait-elle. Le petit panneau indiquait « Ferme des Abeilles », à peine lisible tant la peinture était usée. C’est ainsi que les campagnes Périgourdines sont faites, et elle décidait de suivre ce sentier aux allures de piste, mais bordé de poteaux annonçant une forme de civilisation tant espérée.
 
De temps à temps elle sursautait à cause du crissement dans les feuilles et branchages. Par ce temps lourd et chaud les lézards étaient de sortie, ou peut être les serpents. Elle s’imaginait avec horreur toutes les possibilités, car en fait on entend tout mais on ne voit rien. Une petite brise s’était levée, soulevant un peu de poussière mais aussi sa robe blanche légère, le vent jouant ainsi avec son entre-jambe. C’était très agréable, un peu excitant même d’autant plus qu’elle ne portait aucun sous-vêtement – elle n’en portait jamais d’ailleurs – et que de toute façon il n’y avait personne ici pour la regarder. Elle marchait déjà depuis plus de 10 minutes sur ce chemin quand au détour d’un virage elle vit enfin une vieille ferme, comme il y en a beaucoup dans le Périgord, une ferme pas encore achetée par les Anglais ou Hollandais, qui restaurent tout, et le plus souvent avec du goût.    
   
al strange 2
Un silence étrange régnait autour de cette ferme, un coin presque trop paisible. Juste encore un grondement au loin, la poussière qui se soulevait, la porte de la ferme était ouverte. Pas de chien pour aboyer non plus. Puis comme dans une symphonie le bruit d’une flûte traversière, très faible parvenait à ses oreilles. Elle marqua le pas, surprise et étonnée. Puis s’avança lentement histoire de ne pas perturber ces sons pastorales inattendus ici.  Puis la flûte cessa soudainement et dans la porte apparut une femme assez grande et mince  entièrement nue, avec dans sa main la flûte traversière, et le mont de vénus abondamment habillé d’un épais tablier de forgeron. Elle n’osait plus avancer……dans le Périgord on est capable de sortir le fusil pour moins que cela, se disait-elle et ici on ne devait pas voir du monde tous les jours. La fermière regardait avec curiosité cette poule de la ville, à pied dans  sa  ferme perdu, et ne disait mot.  « Bonjour » tenta la visiteuse, mais aucune réponse ne venait de sa bouche. Juste un regard aux yeux bleus comme une invitation et un geste qui voulait probablement dire : vous pouvez vous avancer, car chez moi même les chiens peuvent entrer.  Pas de fusil et pas de chien, alors……. .  Tout était vieux ici, la cheminée, la table, puis la flûte traversière que la fermière y avait maintenant posée avec les restes d’un repas pas tout à fait terminé. Il flottait autour d’elle un mystère, de quelqu’une qui sait les couleurs et les odeurs, le raffinement et la beauté des choses, les champignons comme le parfum envoûtant du bon vin, qui flotte comme une robe autour de sa taille, suggérant des plaisirs qui en suggèrent d’autres. Et la visiteuse l’ange qui serait descendu dans cette ferme ?
 
Elle était fatiguée de cette marche sous cette chaleur lourde et accablante et elle avait soif. D’ailleurs la fermière l’avait compris et elle sortait du vieux frigo une bouteille d’eau fraîche, attrapait un verre et posait le tout sur la table avec le geste : tu n’as qu’à te servir. La visiteuse se servit un grand verre d’eau qu’elle buvait d’un seul trait, puis elle remplit un autre verre. Elle commençait à raconter pourquoi elle était venue dans cette ferme, et la fermière écoutait avec attention sans prononcer un seul mot. C’était une belle femme, entre 36 et 40 ans, mince et grande, et elle voyait bien qu’elle allait dans les champs, tant il y avait de la poussière sur elle.  Ses seins pointaient fermement, ils était fermes et ronds, les cheveux un peu délavés, mais en fait elle était plein de charme, mais pas bavarde pour un sou. « Il va faire orage » tentait la visiteuse timidement, mais la fermière hochait ses épaules, ignorant sa nudité comme si s’était la chose la plus ordinaire et normale en cette fin d’après-midi.  A défaut de réponse la visiteuse ne se sentait pas à l’aise. Pas qu’elle avait peur, non, mais ce silence et absence de dialogue lui inspirait un peu de gène. Puis la fermière ne cessait de la fixer, de la contempler.
 
« J’aurais besoin d’aide, ma voiture est tombée en panne, à l’entrée du chemin qui mène vers ici », murmurait-elle, mais pas de réponse. La fermière fit alors signe de la suivre et avec un hochement de la tête elle montrait la direction d’une grange, ou était-ce une étable.  Elles traversèrent la cour, et la fermière  ouvrait la grande porte à battants et vers le fond  il y avait trois chevaux. Le fermière s’approchait d’un d’eux, un grand cheval marron, qui manifestement était content de voir la fermière. La visiteuse était surprise de voir ses grands chevaux, dont elle ne connaissait rien. Quand elle était petite elle avait fait un tour de poney, sûrement, mais elle ne s’en souvenait à peine. La fermière sortait le cheval de son box et fit signe, toujours sans dire un mot, que la visiteuse était priée de monter sur le cheval, où il n’y avait même pas de selle. « Non, non, » disait elle ! « Je ne sais pas faire du cheval ». Mais la fermière insistait , posait un petit tabouret et fit le geste du genre : je veux que tu montes à cheval. La visiteuse obéissait, en se disant qu’à cheval, et un sceau d’eau, elle serait forcément plus vite de retour à sa voiture. Une fois sur le cheval elle s’accrochait au crin de celui-ci, qui lui était assez sage.  Mais là à plus de 2,50 m du sol le monde n’a plus le même visage… Sa robe était remontée, et ses cuisses serraient fortement le cheval. Etrange sensation que d’être serrée contre cet animal. Soudainement elle sentait derrière elle la fermière, qui se collait dans son dos. Elle prit les rênes et lentement le cheval sortait de la grange, la visiteuse s’agrippant encore plus fermement au cheval. Les poils drus du cheval venait caresser ses cuisses et l’ entre-jambe, et dans son dos la présence  un peu inquiétante de la fermière complètement taciturne. Elle la sentait fermement coller à son dos.
 
Le cheval commençait à trotter et elle devait s’accrocher encore plus fermement. Le ressac des mouvements l’obligeait à   lever légèrement son bassin du cheval afin de retomber de plus en plus vite sur le dos du cheval, la fermière la serrant de plus en plus par les hanches où ses mains se montraient de plus en plus entreprenantes n’offrant aucune possibilité d’échappatoire. Une main se montrait plus entreprenante et trouvait lentement le chemin de l’ entre-jambe, l’autre main avec les rênes dans la main lui serrait un sein, un petit bout de cuir venait caresser son bouton d’or. Ce sentiment de toute puissance doublé de soumission était une sorte de révélation.  Etait-ce du plaisir ou une contrainte ou les deux à la fois ?  Il lui était impossible de se dégager du cheval et de la fermière, habituée à maîtriser la nature et les animaux.
 
Le cheval longeait maintenant un chemin forestier d’où remontait des odeurs sauvages de champignons et de mousse, de sol mouillé et la visiteuse sentait lentement  l’humidité gagner son sexe devenu une proie au vent caressant et de la main baladeuse mais experte de la fermière. Ses craintes n’avaient pas disparues puis elle était dans cette position bien obligée de subir les assauts de la fermière.
Puis soudainement elle sentait monter en elle une vague qu’elle ne pouvait refouler, le cheval marchant au pas maintenant. S’accrochant avec force, et la fermière fortement collée à son dos, sous le frottement de ce qui devait être son sexe velu et humide de désir et de transpiration, ou les deux. La visiteuse ne voulait plus le savoir et s’abandonna, comme vaincue par les désirs et assauts  de la fermière. Le cheval s’arrêtait au bord d’un ruisseau,  penchait sa tête pour aller boire l’eau fraîche de cette source. Le fermière avait déjà sauté du cheval et déjà elle se baignait dans l’eau claire.  Et elle toujours était toujours paniquée sur le cheval. La fermière n’était plus dans son dos. Elle se laissa glisser le long du cheval, et les pieds incertains, se trouva par terre, encore tremblante et frémissante de cette aventure excitante. La fermière sortit de l’eau et remonta brusquement la robe de sa visiteuse au regard égaré, encore sous le coup des émotions que la promenade en cheval lui avait procurée. Il commençait à pleuvoir, des grosses gouttes tièdes tombaient sur sa peau, la fermière la poussa vers l’eau, et un énorme coup de tonnerre retentissait, le ciel s’obscurcit, tandis que des foudres faisait monter l’électricité et l’excitation maintenant au comble dans l’air.
 al plage ret
L’eau fraîche lui fit du bien mais elle n’eût pas le temps de reprendre ses esprits : la fermière qui jamais ne prononçait un seul mot, se montrait envahissante aux yeux de la visiteuse, lui tirait par le bras vers une cavité dans la roche.  C’était sûrement une bonne idée car maintenant la pluie tombait à grosses gouttes, et cette grotte était un abri parfait. Elle tremblait de froid maintenant dans cette grotte que la fermière semblait parfaitement connaître, et dehors un ouragan s’abattait.  La lumière ne venait plus que quand il y avait la foudre.  Les mains de la fermière l’agrippèrent par les épaules et descendirent lentement le long de son dos, atteignant ses fesses. Elle eût un mouvement de recul mais la fermière semblait avoir prévu cela, puis elle ne résistait pas trop, de peur sans doute, et aussi à cause du froid, puis elle se l’avouait, un peu par curiosité aussi. Puis elle se retourna d’un seul mouvement, les mains de la fermière et sa bouche étaient désormais omniprésents. Comment résister, et pourquoi résister à celle qui cherche à vous procurer un sentiment de sécurité et de bien être en même temps.  Le fermière embrassait ses seins et lentement sa langue descendit vers le nombril où elle s’attardait un instant, puis plongeait vers les entrailles qui se mirent à vibrer, tant cette langue rugueuse lui procurait un plaisir intense à ce sexe épilé, jusqu’à là ignoré, combattu. Une immense chaleur montait dans son ventre, des secousses s’emparaient de son corps, comme des spasmes Elle mit ses mains dans la touffe noire et abondante de la fermière, explorant ses lieux secrets  et sensibles,  mais elle ne prononçait jamais aucun son…….mais ses yeux brillaient dans le noir. Ses seins devenus durs comme la roche de cette grotte, seul une sorte de râle, en guise d’apothéose venait confirmer l’immense plaisir que la fermière tirait de ces gestes de tendresse, et qui ne s’en cachait pas.
  Montages3-1 chevaux
L’orage était parti plus loin maintenant, il ne pleuvait presque plus, le cheval était toujours là,  les deux femmes rentrèrent à pied, la visiteuse avec la robe dans la main. Quelques minutes après elles arrivèrent à la ferme, la cour était devenue boueuse. La fermière attrapait un sceau, tandis que la visiteuse remettait difficilement sa robe encore mouillée qui lui collait à la peau, montrant ses formes, mais c’était le dernier de ses soucis. La fermière l’ invitait une fois de plus à prendre place sur le cheval, et ensemble elles  partaient vers la voiture au bout du chemin. Et après avoir mis de l’eau dans le radiateur de  la voiture elle se mit en marche sans problème.
 
La fermière, toujours nue, et taciturne regardait s’éloigner la petite voiture, ne connaissant ni le nom ni d’où elle venait,  ni l’endroit où allait la visiteuse. La lumière dans ses yeux, elle était comblée, tandis que la visiteuse se disait qu’elle serait incapable de retrouver un jour la ferme des abeilles……….
 
 
FIN
 
Ce conte périgourdin a été écrit du point de vue de la visiteuse.
Il sera suivi d'une version selon la fermière!
Un autre conte érotique sur le lien suivant : conte érotique périgourdin
 
 
P9020025 aff blanc
 
Partager cet article
Repost0
1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 07:47

La Fermière, la Sorcière et les Chevaux

 

conte érotique écrit par Alexia des Sources., membre du Collectif Artistique de Saint Georges de Montclar, association déclarée. Alexia F. est parrainée par Ariane Lumen, voir plus : www.arianelumenart.odexpo.com membre fondatrice de l'association, artiste peintre, modèle et illustratrice. La loi du 11 mars 1957 interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédée que ce soit, sans le consentement de l'auteur ou des ses ayants droits cause est illicite et constitue une contrefaçon sactionnée par les article 425 et suivants du Code Pénal.

 

alexia jambes

 

 

Le soir tombait tranquillement sur la ferme mais les rayons du soleil étaient encore chauds. La fermière était épuisée par sa longue journée enfin terminée. Elle sentait fort la transpiration, mais se sentait bien, c'était comme un signe qu'elle avait bien travaillé, et bien mérité de se reposer et se détendre.

P7010126Elle enleva sa robe tâchée et rapiécée et se retrouva nue dans la nature. Son corps vieillissant n'avait plus connu la douceur de l'amour depuis bien longtemps. Mais avec le temps ça lui manquait demoins en moins. Sauf peut-être en des instants de solitude cruelle, tard dans la nuit.

Elle vivait seule depuis longtemps et ses seuls amis étaient ses animaux, en particulier ses chevaux qu'elle adorait plus que tout. Sa récompense habituelle de fin de journée était une longue ballade solitaire à cheval, dans la campagne tranquille, au crépuscule.

La fermière arriva à l'écurie, et pris le temps de brosser, et de s'occuper de chacun de ses chevaux. Puis elle en choisit un et le fit sortir doucement de l'écurie, le visage éclairé par un grand sourire. Elle se sentait complice avec eux, dans une relation impossible à décrire, une relation sans aucun mot, mais pourtant tellement forte, tellement réciproque. Elle se disait souvent que peu d'humains pourraient comprendre ce qu'elle ressentait.

Entièrement nue, elle monta avec grâce sur l'immense cheval, sans selle. Le contact rêche des poils de l'animal sur la peau lui plaisait. Elle et l'animal, et rien d'autre, dans la nature, une communion en toute humilité.

P7010073Serrant fort l'animal entre ses cuisses, elle partit vite au galop à travers les chemins qu'elle connaissait par cœur. Bien vite, la fraicheur de l'air ne la faisait plus frissonner, le cheval au galop dégageait une chaleur fantastique et douce. Dans cette position, les jambes grandes ouvertes autour du dos de l'animal, le bassin cambré, son sexe cognait fort contre la peau de l'animal, à chaque foulée, ce qui rendait leur contact encore plus intime. Elle accompagnait tous
ses mouvements par les siens, balançant ses jambes et son buste en rythme. Sous l'effort et le plaisir, ses joues rougissaient sous la pleine lune.

Elle ne pensait plus à rien, pendant un long moment, ils étaient juste tous les deux, serrés très fort l'un contre l'autre, dans une chaleur moite et intense, leur respiration intense synchronisée, filant comme le vent, invisibles dans la nuit.

 
A l'abord d'une clairière, à bout de souffle, ils s'arrêtèrent, et
elle descendit lentement en glissant sur son flanc. Ses cuisses et son bas ventre était un peu rougis par l'irritation du frottement, et elle s'assit dans l'herbe aux cotés du cheval qui soufflait puissamment, faisait sortir d'imposantes volutes de fumée de ses narines. Elle remarqua alors l'érection de son cheval, ce qui n'arrivait pas souvent. Elle avait toujours été fascinée par la taille surhumaine de
leur membre - c'était bien plus gros qu'un bras d'homme - et avait du mal à en détacher son regard. Elle se sentait totalement humble face à cette bête magnifique, toute en muscles et en virilité.

En caressant sa peau irritée, elle remarqua, avec un peu de gène, que son sexe était très humide. Elle sentait son clitoris gonflé, elle sentait qu'en elle un désir brûlant était là, trop souvent insatisfait, même nié. Mais par moments il revenait, implacable, avec toujours plus de force.

Dans ce cadre détendu et calme, elle n'eut pas la force deP9080035 lutter, et s'abandonna vite à la masturbation, allongée dans l'herbe, aux pieds du cheval. D'une main elle se pinçait fort un téton, tandis que de l'autre elle se caressait frénétiquement le clitoris. Elle se mordait les lèvres en gémissant, en contemplant l'énorme sexe dressé de l'animal.

Très vite elle fut submergée par un orgasme profond qui l'agita de spasmes pendant une longue minute. Puis elle essuya ses larmes en riant et se releva.

alexia F 1C'est alors qu'une lueur surnaturelle illumina la clairière. La
fermière et son cheval sursautèrent, mais restèrent à la même place, comme s'ils étaient fascinés tous les deux par ce spectacle étrange. La lueur d'une couleur indéfinissable s'estompa, et laissa la place à une étrange femme, d'apparence magnifique mais troublante, vêtue d'une
robe aux motifs incompréhensibles. Son age paraissait impossible à déterminer, sa peau, blanche et lisse, et ses formes gracieuses et fermes lui donnait l'aspect d'une jeune fille, mais dans son regard transparaissait une sagesse et une expérience incroyable. Son regard pénétrant fixait la fermière, et elle tendit vers elle un objet allongé curieux, qui ressemblait à une sorte de grosse racine. Un silence de mort régnait dans la clairière, tandis que la voix de la
sorcière s'éleva.

<< Pécheresse ! comment oses-tu laisser de la sorte ta chair être plus forte que ton esprit ? Je t'observe depuis longtemps, pauvre créature, et j'ai décidé que tu ne méritais pas d'être plus qu'un animal. Reçois mon châtiment, tu as fantasmé devenir une simple jument, et bien je vais exaucer ce souhait ! >>

La fermière restait pétrifiée, sans arriver à comprendre ce qui se passait. Ça ne pouvait être qu'une plaisanterie, mais c'était tellement ... surnaturel. Etait-elle en train de rêver ? Les mots de la sorcière résonnaient en elle, ça paraissait tellement absurde. La sorcière la fixait toujours, dans un rictus de profonde concentration, le bras tendu vers elle. P9140249Devenir une jument ? Soudain, la fermière fut prise d'une douleur atroce dans le dos. Sa colonne vertébrale semblait grossir en elle, et elle tomba en avant, tant la souffrance était insupportable. Son dos craquait et elle commença à hurler, prise de terreur. Elle ne pouvait plus se relever,
comme si son dos était cassé, tordu, par une force inimaginable. Ses bras et ses mains commencèrent ensuite à se tordre, dans d'effroyables bruits de craquements douloureux. Elle sentit ses doigts se resserrer entre eux, devenir une sorte de masse dure, comme si ses chairs
étaient comprimés dans un étau. Elle hurlait, croyant vivre ses derniers instants. Sa mâchoire devint douloureuse également, semblant gonfler, tirant sa peau dans toutes les directions, ses dents grossirent, pendant qu'elle continuait à crier... mais ses cris devenaient de moins en moins humains. Sa peau se recouvrait de poils durs. Toute sa morphologie était en mutation rapide, tous ses muscles,
ses organes, ses sens, devenaient différents.

Même son esprit devenait celui d'un cheval. Elle ne perdait pas sa mémoire, mais elle perdait la précision et la nuance des mots. Elle n'était plus que les émotions qu'elle ressentait dans l'instant. La peur, la douleur. Ses jambes, ses 4 jambes tremblaient. Ses sabots lui faisaient mal. Mais elle tenait debout. La métamorphose se terminait enfin, la douleur cessait.

Montages3-1 chevaux


Elle contempla pour la première fois la clairière avec ses nouveaux yeux de juments. Tout lui semblait différent. Une foule d'odeurs, de saveurs, de bruits lui apparaissaient nettement autour d'elle.

Parmi toutes ces odeurs, une se fit plus présente, et devint
obsédante. Elle sentit le mâle près de lui. Elle sentit son désir. Elle sentit son corps réagir instinctivement à cet appel, elle sentit son corps se préparer. En frétillant, elle présenta sa croupe en direction de l'étalon. Elle sentait des fluides ruisseler en elle. Elle le sentit s'approcher, et baissa la tête pour faciliter son approche. Il monta rapidement sur elle, et d'un coup la pénétra profondément de son membre dur. La jument serra les dents en soufflant et lutta pour garder l'équilibre, puis chercha à s'ouvrir encore plus pour accueillir les coups de l'étalon. Ses coups étaient brutaux et violents, mais la douleur était supportable, c'était comme un prix à
payer, elle ne ressentait pas vraiment de plaisir, mais elle se
sentait à sa place. Au bout de quelques coups, l'étalon éjacula puissamment en elle, et se retira aussitôt, son érection déjà passée. Une quantité énorme de semence coula du vagin de la jument, formant une flaque entre ses sabots.

PC170014


Le cheval était soulagé et il ne pensait plus à la jument, il était retourné dans la clairière. La jument elle, était encore dans les sensations intenses de l'accouplement. L'entrejambe un peu douloureux, son vagin était encore animé de violentes contractions, destinées à amener la semence jusqu'à l'utérus. Elle aurait sans doute un poulain
de cette courte union mais ne le savait pas. Elle regardait l'étalon dans une sorte d'élan amoureux.

Quand il se mit à galoper, en direction de la ferme, son instinct lui commanda immédiatement de le suivre. La jument se mit à galoper en suivant son étalon, avec une seule idée, ne pas rester seule. Sa vie est en troupeau, parmi les siens.

 

      197079 118914474852706 100002024628044 134698 5158485 n

 

  contact: collectif-artistique.sgdm@orange.fr

 

Un autre conte érotique sur le lien suivant: Conte Erotique Perigourdin II

 

  P9020025 aff blanc

 

 

  voir aussi : www.arianelumenart.odexpo.com et http://ariane.lumen.over-blog.com

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
23 février 2011 3 23 /02 /février /2011 14:31

Dominique Rousseau et Ariane Lumen

 

Ariane Lumen est fondatrice du Collectif Artistique de Saint Georges de Montclar, association déclarée

 

Dominique Rousseau, Maire de la Ville de Bergerac et Conseiller Général a permis à Ariane Lumen, artiste peintre, illustratrice et modèle à Saint Georges de Montclar en Périgord ( Dordogne) d'accrocher ses tableaux dans sa permanence de campange située 38 Grand' Rue à 24100 Bergerac, téléphone 0553739027.

 

Ici Je Suis Chez Moi

 

Le Collectif Artistique de Saint Georges de Montclar et Ariane Lumen partagent les valeurs, et les idées de Dominique Rousseau et sa suppléante Madame Cécile Labarthe, Maire Adjointe de la Ville de Bergerac.

 

 

 

P2230050

 

P2220047

 

 

P2230055

 

Ici Je Suis Chez Moi

 

 

 

P2220040

 

 

P2220042

 

P2220044

 

 

Contacter Ariane Lumen: alume@orange.fr

 

voir plus sur Ariane Lumen sur le site: www.arianelumenart.odexpo.com

 

L'illustration musicale sur cette page est de Cloé du Trèfle, musicienne et chanteuse, amie d'Ariane Lumen, et membre du Collectif Artistique de Saint Georges de Montclar. Voir plus: Cloé du Trèfle Musicienne

 

Contacter l'association: collectif-artistique.sgdm@orange.fr

 

 

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Ariane Lumen et le Blog de Colart24
  • : Informations sur l'association Collectif Artistique de Saint Georges de Montclar, activités, artistes
  • Contact

Recherche